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- L’eau de cuisson du riz : un bouillon riche en nutriments aux effets surprenants sur la digestion
- Précautions, arsenic, conservation : les bons gestes à adopter avant de boire l’eau du riz
- L’eau de riz en cosmétique et jardinage : un élixir naturel pour les cheveux, la peau et les plantes
- Préparer et utiliser l’eau de riz selon vos besoins : modes d’emploi santé, beauté et maison
- Pourquoi j’ai adopté l’eau de riz dans ma routine quotidienne, et ce que vous pourriez en tirer
L’eau de cuisson du riz : un bouillon riche en nutriments aux effets surprenants sur la digestion
On l’ignore souvent, mais l’eau dans laquelle on fait cuire du riz se gorge littéralement de vitamines B, de minéraux comme le magnésium et le potassium, et surtout d’amidon. Ce dernier agit comme un protecteur digestif naturel, idéal en cas de gastro ou de diarrhée légère. Il apaise les muqueuses, ralentit le transit et favorise la réhydratation.
Ce n’est pas un vieux remède de grand-mère : c’est un geste validé par des générations entières, notamment en Asie ou en Amérique latine. Perso, c’est devenu mon réflexe santé dès que je sens que mon ventre tire la sonnette d’alarme. Une solution simple, efficace, et souvent plus rapide que de courir à la pharmacie.
Précautions, arsenic, conservation : les bons gestes à adopter avant de boire l’eau du riz
Le riz peut contenir des traces d’arsenic, surtout s’il n’est pas rincé. Le bon réflexe : rincer soigneusement votre riz avant cuisson, et privilégier les variétés bio et non précuites. Ensuite, cuisez-le dans une eau non salée si vous comptez en boire l’eau.
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Filtrez-la après cuisson, laissez tiédir… et buvez dans les 48 heures, conservée au réfrigérateur. Ce n’est pas un remède miracle, mais une boisson maison simple, pratique et plutôt agréable à intégrer dans sa routine bien-être. Un geste sans risque, à condition d’être un minimum informé.
L’eau de riz en cosmétique et jardinage : un élixir naturel pour les cheveux, la peau et les plantes
En lotion pour le visage, l’eau de riz resserre les pores, calme les irritations et aide à matifier les peaux grasses. En après-shampoing, elle rend les cheveux plus souples et plus brillants, comme si vous aviez passé l’après-midi dans un salon de Tokyo.
Son usage ne date pas d’hier : en Chine, les femmes Yao l’utilisent depuis des siècles pour entretenir leurs cheveux qu’elles ne coupent qu’une seule fois dans leur vie. Une tradition qui a traversé les frontières, et qui gagne aujourd’hui les salles de bains occidentales.
Et pour vos plantes ? L’eau de cuisson du riz, à condition qu’elle ne soit pas salée, devient un engrais naturel redoutable. Elle nourrit la terre, stimule la croissance, et limite le gaspillage. Je l’utilise une fois tous les 15 jours, et mes plantes me remercient (en survivant, ce qui est déjà énorme).
Préparer et utiliser l’eau de riz selon vos besoins : modes d’emploi santé, beauté et maison
Pour boire l’eau : faites cuire le riz 30 minutes dans 3 fois son volume d’eau, sans sel, puis filtrez. Buvez tiède ou à température ambiante. C’est léger, doux, presque neutre au goût.
Pour les cheveux ou la peau, préférez une eau de trempage (1/2 verre de riz dans 2 verres d’eau), reposée 30 minutes. Pour un effet renforcé : laissez fermenter l’eau 24 à 48 h, puis conservez-la au frigo jusqu’à 7 jours. L’odeur est plus forte, mais les effets sont amplifiés, notamment pour la peau et les cheveux.
On parle ici d’un soin maison, à la fois économique et étonnamment efficace. Moins d’additifs, plus de résultats. Et une fierté de faire soi-même qui ne se néglige pas.
Pourquoi j’ai adopté l’eau de riz dans ma routine quotidienne, et ce que vous pourriez en tirer
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J’ai longtemps jeté cette eau sans même y penser. Et puis, un jour de grosse flemme, je l’ai goûtée. Pas par conviction, juste parce que j’avais la flemme de jeter. Et là, surprise : c’était buvable. Mieux encore, mon estomac l’a bien pris.
Depuis, je la bois parfois, je l’applique sur ma peau, je la verse au pied de mes plantes. Zéro déchet, zéro effort, plein de bienfaits. On n’a pas souvent ce genre d’occasion dans la vie. Alors testez. Une fois. Et dites-moi si, comme moi, vous avez fini par attendre avec impatience que le riz bout, rien que pour en récupérer l’eau.
